Casalino Pierluigi.
venerdì 15 maggio 2020
Staline et la machine de la terreur.
Staline tient bien en main la machine de la terreur. Anthony Eden, qui l'admire, raconte qu'en décembre 1941, Staline, au cours d'une conversation, fit observer soudain que Hitler avait révélé un génie exceptionnel. Il avait su amener le peuple allemand à obéir aveuglément à sa volonté. Mais, ajouta-il, Hitler a montré qu'il a un défaut fatal. Il ne sait pas s'arrêter. Eden raconte qu'à ce moment là, il ne peut retenir un sourire. Staline, qui avait parlait très sérieusement, fut d'abord vexé et demanda ce qu'il avait dit de drôle. Mais il répondit lui-même à sa question: je réalise maintenant pourquoi vous souriez, Mister Eden. Vous êtes en train de vous demander si moi-même, je saurai m'arrêter. Eh bien! Je puis vous assurer que je le saurai toujours. En 1938, Staline montra qu'il était capable de s'arrêter et d'arrêter la machine qui, semblait-il, se précipitait dans un gouffre. Le trait le plus caractéristique de l'État socialiste totalitaire est la négation officielle de la terreur. En 1918, le jeune Etat soviétique avait décrété la terreur rouge aux yeux du pays et du monde. L'achèvement de la construction du socialisme fut celui d'une société qui prenait les paroles du chef pour la réalité e qui rejetait la réalité dans la quelle elle vivait (lire sur le net mon "IL DEMONE RUSSO). La tradition de l'autocratie russe devenue communiste. Une tradition qui se répète avec la Russie post soviétique d'aujourd'hui.
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