domenica 31 maggio 2020

L'époque de Nicolas. Mémoires du voyageur français le marquis de Custine et l'actualité russe.

Custine avait dix semaines en Russie, il ne connaissait pas un mot de russe, mais, observateur pénétrant et attentif, il remarqua bien te traits du régime de Nicolas, caractérise de tout régime despotique, notamment russe. Le livre de Custine sur la Russie, brillant, est produit comme la preuve définitive de la nature spécifiquement russe de l'état russe en général, zarist, soviétique ou nationaliste (regardez mon "Il démone russo", spazio blog Ennepilibri). Il faut avouer que les formules frappantes du marquis se passent de commentaires: "Le régime politique de la Russie peut se résumer en une phrase: c'est un pays dont le gouvernement dit ce qu'il veut, car lui seule a le droit de parler....En Russie, la peur tient lieu de pensée, ou mieux la paralyse....L'observateur ne peut examiner les choses qu'avec un guide...Pour entrer en Russie, il faut déposer, avec votre passeport, votre libre arbitre à la frontière. En Russie la pensée n'est seulement un crime, elle est malheur....Le livre de Custine est l'image de la Russie de toujours...aussi au temps de Putin....
Casalino Pierluigi.

sabato 30 maggio 2020

L'axe Moscou-Berlin (1939-1941)-12

En juin-août 1939, donc, après divers développements, les pourparlers anglo germaniques, menés par des personnages officiels  se renouvele'rent et se interrompirent à plusieurs reprises. Mais les exigences de l'Allemagne  en particulier que le Proche Orient fût considéré come une " sphère économique naturelle" de l'Allemagne, étaient absolument inacceptables pour l'Angleterre. Un point fondamental rendait les points de vue anglais et allemand:les nazis recherchaient la domination illimitée du continent européen. Mais ce moment favorable pour la Russie soviétique ne fut pas compris de Staline, quoiqu'il il eût toujours répété, en s'appuyant sur la théorie de Lénine sur l'impérialisme, que les contradictions entre les grandes puissances rivales (impérialistes) étaient inconciliables. C'est ainsi qu'en été 1939, l'Angleterre comme l'Union soviétique eurent intérêt à faire traîner les pourparlers en longueur. Par là même, elles remettaient le sort du monde dans les mains de l'Allemagne hitlérienne, qui recherchait un déclenchement immédiat de la guerre. Le 17 août 1939, Molotov informe Schulemburg que le gouvernement soviétique est prêt à mettre un croix sur le passé et améliorer ses relations avec l'Allemagne...Le 20 août l'accord commercial germano soviétique était signé. Le lendemain, la Pravda nota dans son éditorial que cet accord "pourrait être un pas important vers une amélioration future des relations non seulement économiques  mais aussi politiques entre la Russie et et l'Allemagne. Le soir du 23 août, au Kremlin  le pacte de non agression germano soviétique était signé. La conclusion des accords avec l'Allemagne hitlérienne couronnait les efforts de Staline pour nouer une alliance germano soviétique. Lorsque le 31 août 1939, Molotov informa les députés du Soviet suprême des raisons du pacte de non-agression, il commença par dire que l'Allemagne et la Russie avaient le plus souffert de la Première Guerre mondiale, souligna que le gouvernement désirait depuis longtemps approfondir ses relations politiques avec l'Allemagne. Rappelant que Hitler avait prorogé en 1933 l'accord de 1926 sur la neutralité, il ajouta littéralement ceci:" Même avant, le gouvernement soviétique jugeait souhaitable de faire un pas important dans la voie d'une amélioration de ses relations avec l'Allemagne, mais le  circonstance furent telles  que cela ne devint possible que maintenant". Le 18 décembre 1941, le plan Barbarossa, plan d'attaque allemand à la Russie, fut définitivement adopté.
Casalino Pierluigi, 

L''intervento straniero in Russia durante la guerra civile (1918-1920)

L'intervento delle potenze straniere nella guerra civile russa non modificò i rapporti di forza sul terreno. Quella che sarà chiamata la campagna dei quattordici Stati, promossa con convinzione soprattutto dal ministro della difesa inglese Winston Churchill, non fu tuttavia un vero e proprio intervento, ma si configuro' come una serie di interventi con obiettivi differenti e talvolta senza veri e propri obiettivi. La Russia non rientrava negli interessi principali dei vincitori della prima guerra mondiale e pochi tra di essi si rendevano conto che avevano a che fare ormai con una Russia postrivoluzionaria. La prima fase delle operazioni alleate in terra russa costituiva un aspetto del conflitto con la Germania. Dopo la rivoluzione di Febbraio, i Paesi dell'Intesa avevano temuto un pace separata tra la Russia e la Germania. Timore che era comunque giustificato: se il governo provvisorio aveva tirato la Russia fuori dalla guerra, la prospettiva poteva essere diversa. Le truppe tedesche, riposizionare sul fronte occidentale prima dell'arrivo degli americani, avrebbero potuto prendersi una rivincita sulla Marna. Gli alleati cominciarono a studiare l'intervento in Russia all'indomani del colpo di forza d'Ottobre. Per le potenze dell'Intesa, non vi era alcun dubbio che quel colpo di stato er opera dei tedeschi, che non potevano che beneficiarne. La lotta contro i bolscevichi appariva, dunque, come un prolungamento della lotta contro la Germania. Prima di firmare la pace con Berlino, il governo sovietico aveva salvaguardato le relazioni con gli alleati. Quando nel corso dell'inverno 1917-1918" il porto di Mourmansk venne minacciato dall'offensiva finno germanica, Trotsky, appena nominato commissario del popolo alla guerra, ordinò al Soviet di Mourmansk di collaborare con le forze alleate. A marzo, gli inglesi sbarcarono 2000 uomini. Dopo la conclusione della pace di Brest-Litovsk, i tedeschi presero dal governo sovietico di far evacuare gli alleati da Mourmansk, dal momento che la loro presenza nella zona avrebbe significato per la Germania un casus belli. Il rifiuto degli alleati di ottemperare e anzi lo sbarco di nuovi effettivi, d'intesa con il Soviet locale, fornì il pretesto al governo sovietico di avviare delle operazioni contro le truppe di intervento. Il 28 giugno, i combattenti cominciarono. La zona controllata dagli alleati nel nord della Russia rimase nelle mani degli occupanti fino all'autunno del 1919, data in cui gli alleati lasciarono il territorio. Il successo dell'offensiva tedesca sul fronte occidentale, nel marzo del 1918, accrebbe la paura alleata di vedere giungere le forze tedesche agli Urali. Il consiglio di guerra di Londra il 16 marzo adottò, su richiesta di Clemenceau, la decisione di far affluire truppe giapponesi in Estremo Oriente. Il primo contingente nipponico sbarcò a Vladivostok il 5 aprile 1918. Ad agosto seguirono gli americani e via via elementi di altre nazionalità,  tra cui anche italiani. Alla fine di settembre il corpo di spedizione alleato ammontava a 44.000 uomini. Una gran parte di essi di dispose tra il lago Baikal, l'Amour e la frontiera russo cinese. Il resto si fermò a Vladivostok. Il governo britannico ad un certo punto si mostra più preoccupato della crisi economica che dell'avanzata dei bolscevichi. Anche la Francia si interroga se sia il caso di proseguire nell'intervento anche a favore delle armate bianche, che non riescono a sostenere uno sforzo adeguato nel grande Paese. Con la capitolazione degli Imperi centrali e della Turchia, si propende di restare in Russia per combattere i bolscevichi. Fino al 1920 truppe straniere restarono, infatti, in Russia. Poi prevalsero altre considerazioni e si fece strada l'idea di convivere con la Russia sovietica e anche di stabilire con essa relazioni stabili e reciprocamente vantaggiose.
Casalino Pierluigi.

venerdì 29 maggio 2020

L'axe Moscou-Berlin(1939-1941)-11

Le gouvernement britannique s'efforçait de faire traîner les pourparlers, car il avait entrepris à ce moment là de sonder en profondeur les intentions allemandes. Henderson, l'ambassadeur britannique à Berlin, rendit visite à Goering et lui annonça le 9 juin que si l'Allemagne avait voulu entamer des pourparlers de paix avec l'Angleterre, elle aurait obtenu une réponse "qui n'aurait pas été inimicale" En juin- août 1939, les pourparlers anglo germaniques, menés par des personnages officieux, se renouvele'rent et s'interrompirent  à plusieurs reprises. Mais les exigences de l'Allemagne, en particulier que le Proche-Orient fu^t considère comme une "sphère économique naturelle" de l'Allemagne, étaient absolument inacceptables pour l'Angleterre. Un point fondamental rendait les point de vue anglais et allemand inconciliables: les nazis recherchaient la domination illimitée du continent européen. Mais ce moment favorable pour la Russie ne fut pas compris de Staline, quoiqu'il eût toujours répété, en s'appuyant sur la théorie de Lénine sur l'impérialisme, que les contradictions entre les grandes puissances rivales (impérialistes) étaient inconciliables. C'est ainsi qu'en été 1939, l'Angleterre comme la Russie soviétique eurent intérêt à faire traîner les pourparlers en longueur. Pas là même, elles remettaient le sorte du monde dans le mains de l'Allemagne hitlérienne, qui recherchait un déclenchement immédiat de la guerre. Le 28 juin, Molotov répéta à Schulemburg que la normalisation des relations politiques avec l'Allemagne était possible et souhaitable. L'ambassadeur allemand lui répondit que l'Allemagne saluerait volontiers une normalisation, ce qui provoqua la satisfaction de Molotov, en particulier parce que l'Allemagne considérait comme toujours en vigueur l'accord de neutralité de Berlin de 1926 qui avait été signé par le deux pays, quatre ans après le Rapallo Geist. Le 22 juillet, les pourparlers commerciaux germano soviétiques reprirent à Moscou, où arriva le haut fonctionnaire allemande Schnurre. Le lendemain, le gouvernement soviétique proposa à l'Angleterre et à la France d'entamer des pourparlers à Moscou entre les représentants des forces armées des trois pays. Le 25, l'Angleterre et la France donnèrent leur accord. Cependant, le gouvernement de Neville Chamberlain s'efforçait en même temps de faire traîner les conversations.La mission militaire britannique n'arriva à Moscou que le 11 août, avec l'instruction  de ne pas prendre d'engagements particuliers susceptibles de lier le gouvernement de London. En particulier, la délégation n'avait pas à discuter le problème des Etats baltes et de la position polonaise et roumaine. Les instructions du gouvernement britannique à son mission militaire étaient si décourageantes que l'ambassadeur britannique à Moscou Seeds envoya une lettre à Lord Halifax, le 13 août, lui demandant si le gouvernement de London désirait réellement que les pourparlers progressent. La méfiance de Staline à l'égard des objectifs et des intentions de l'Angleterre se renforça. A ce moment-là, les agents soviétiques savaient déjà que l'Allemagne avait fixé le jour de l'attaque de la Pologne: le 26 août. 
Casalino Pierluigi 

Dante and Islam after Asin Palacios, Maria Corti and Luciano Gargan studies

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L'axe Moscou-Berlin (1939-1941)--10.

Selon Molotov, le deux gouvernements, allemand et soviétique, devraient réfléchir sur la meilleure façon de constituer une base politique à leurs relations. A Berlin, cette déclaration fut perçue comme une initiative pleine de promesses, mais on décida de d'attendre une déclaration plus franche. Les nazis craignaient que le gouvernement soviétique n'utilisa^t une attitude conciliante de l'Allemagne pour arracher des concessions dans ses pourparlers avec l'Angleterre et la France. Dans un de ses mémorandums adressé à Hitler, le ministre des Affaires étrangères allemand nota que l'Urss avait cessé de s'en tenir à sa politique agressive de révolution mondiale et qu'une normalisation progressive des relations germano- soviétiques était possible. Le ministère des Affaires étrangères allemand commença une étude intensive de perspective d'un rapprochement germano- soviétique et de ses conséquences éventuelles sur l'alliance de l'Allemagne avec le Japon et l'Italie. En juin et en juillet, Staline et Hitler s'abstinrent bientôt de tout geste décisif. En même temps, les pourparlers commerciaux intensifs se poursuivaient entre les deux pays. A la fin du mois de mai 1939, l'Extrême-Orient fut le théâtre de heurts entre troupes mongoles et soviétiques d'une part, et Japonaises d'autre parte, heurts qui prirent bientôt le caractère de combats meurtriers. L'aggravation des relations soviétiques accrut encore la nervosité du gouvernement soviétique et sa crainte  que la Russie soviétique ne soit entrainée dans une guerre sur deux fronts, à l'ouest et en Exsteme-Orient. Cependant, Hitler était agité par les mêmes doutes. Des généraux se prononçaient nettement contre une guerre simultanée sur deux fronts. Toute la stratégie de l'Allemagne hitlérienne était fondée sur un écrasement des adversaires par un, sans qu'il aient la possibilité de s'allier politiquement et militairement. L'aggravation des relations germano polonaises et la faiblesse militaire relative de l'Angleterre et de la France poussaient Hitler à se rapprocher à la Russie soviétique. A la mi-juin, Staline décida de renouer des pourparlers avec les Allemands, mais cette fois de façon plus précise. Le 15 juin, Astakhov rencontra Draganov, l'envoyé bulgare à Berlin et lui expliqua que l'Union soviétique devait choisir entre trois possibilités: conclure un pacte avec la France et l'Angleterre, faire traîner les pourparlers avec ces deux pays, conclure une entente avec l'Allemagne. Cette dernière possibilité répondait le mieux aux désirs de Moscou. Puis Astakhov exposa pratiquement à Draganov le projet d'un accord germano soviétique. Il indiqua en particulier que l'Urss refusait de reconnaître l'appartenance de la Bessarabie à la Roumanie; autrement dit, il fit comprendre que l'une des conditions du futur accord serait le retour de la Bessarabie à l'Union soviétique. Il indiqua en outre que l'obstacle qui freinait la conclusion d'un accord germano soviétique était la craint de l'Urss de se voir attaquer par l'Allemagne, du côté des pays baltes ou de la Roumanie. Si l'Allemagne devait déclarer qu'elle s'attaquerait pas la Russie ou conclurait avec elle un pacte de non-agression, l'Urss renoncerait sans doute à conclure un accord avec l'Angleterre. Mais la Russie soviétique,  poursuivit Astakhov, ignorait les intentions réelles de l'Allemagne, de sorte que beaucoup d'éléments plaidaient pour qu'elle fit traîner ses pourparlers avec l'Angleterre en longueur, ce qui lui laisserait les mains libres. Ainsi que l'escomptait Astakhov, Draganov informa immédiatement le ministère des Affaires étrangères allemand de cette conversation. Le 15 juin, lorsque Astakhov s'entretenait avec Draganov, les gouvernements anglais et français transmettaient  au gouvernement soviétique leurs observations sur les propositions soviétiques. Consentant à conclure un pacte d'assistance mutuelle, ils refusaient de ratifier en même temps une convention militaire à cause des délais trop brefs, et proposaient de s'en tenir pour le moment à des consultations entre les états-majors.
Casalino Pierluigi

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giovedì 28 maggio 2020

Lo scontro in seno al mondo islamico va oltre le divisioni confessionali per coinvolgere aspetti storici e geopolitici.

Esiste una divisione di fondo tra le due maggiori chiese islamiche, quella sunnita e quella sciita, ma esiste pure una netta separazione, per ragioni politiche, nella componente sunnita: da un lato chi appoggia la fratellanza islamica come Turchia e Qatar e dall'altro chi si oppone ad essa come Arabia Saudita, Egitto, Emirati e altri paesi arabi. Esistono poi confessioni come quella prevalente in Oman ed in altre aree minoritarie dell'Islam, che si pongono in maniera autonoma rispetto alle due realtà maggiori. Ora vediamo in Libia assistiamo ad un conflitto feroce tra Turchia e sauditi, che spiazza le stesse potenze occidentali e riporta in gioco anche l'Iran.
Casalino Pierluigi 

L'axe Moscou-Berlin (1939-1941)-9

Le 3 mai 1939, M.M.Litvinov, le commissaire du peuple aux Affaires étrangères qui symbolisait au cours des années trente la politique de sécurité collective, fut démis de son poste. Le limogeage de ce juif, qui fut souvent le cible de la propagande nazie et son remplacement par le président du Sovnarkom Molotov, firent une très bonne impression à Berlin. Une dépêche diplomatique allemande soulignait que la nomination de Molotov "garanti apparemment que dorénavant la politique extérieure de l'Urss sera menée en pleine conformité avec les idées de Staline".
Le 5 mai on communiqua à Astakhov que l'armement commandé par Moscou aux usines tchécoslovaques Skoda serait livré. Courant mai, l'Angleterre et la France d'un côté, l'Urss de l'autre, continuèrent à échanger et discuter des propositions par la voie diplomatique. Pour l'Urss, le point essentiel était la garantie que les Etats baltes ne tomberaient pas, d'une façon ou d'une autre, dans les mains de l'Allemagne, les troupes soviétiques pourraient traverser sans encombre les territoires de la Pologne et de la Roumanie, dans la mesure où l'Urss et l'Allemagne n'avaient pas de frontière commune. Pratiquement, cela signifiait que la Russie cherchait à obtenir l'accord de l'Angleterre et de la France pour une annexion des pays baltes. Les gouvernements de Pologne et de Roumanie refusaient leur accord pour un passage des troupes soviétiques, car ils redoutaient, non sans raison, qu'il amène des changements sociopolitiques irréversibles dans ces pays. En pleins pourparlers anglo-franco- soviétiques, le 20 mai, Molotov reçut l'ambassadeur allemand à Moscou von Schulemburg. Celui-ci fut frappé par une remarque de Molotov.
Casalino Pierluigi, 9

L'axe MoscouMoscou-Berlin (1939-1941)-8.

Le 15 avril, le gouvernement britannique pria l'Urss de déclarer publiquement qu'en cas d'agression contre un voisin européen de l'Urss, celui-ci pourrait compter sur l'aide soviétique dans sa résistance à l'agresseur. Le 17 avril 1939, Moscou proposa à l'Angleterre et à la France de conclure un accord pour cinq ou dix ans sur une aide mutuelle et l'aide aux pays d'Europe de l'Est, disposés entre la mer Baltique et la mer Noire et limitrophe de l'Urss, en cas d'agression. Les propositions soviétiques prévoyaient de conventions militaires. Déjà, dix jours auparavant, Peter Kleist, un fonctionnaire du ministère des Affaires étrangères allemand s'entendit dire par le chargé d'affaire à Berlin, Astakhov, qu'il n'avait aucun sens à ce que l'Allemagne et l'Urss poursuivent leur lutte idéologique, alors qu'elles pourraient avoir une politique  concertée. Le jour même où les propositions soviétiques furent transmises à l'Angleterre, l'ambassadeur soviétique a Berlin, A. Merekalov, annonça à Weizsacker que la Russie soviétique souhaiterait instaurer avec l'Allemagne des 0relations normales, relations qui pourraient "encore s'améliorer": les divergences idéologiques ne devraient pas continuer un obstacle.8-
Casalino Pierluigi 

L'axe Moscou-Berlin ( 1939-1941)-7.

Cinq jours après, l'Allemagne occupa la Tchécoslovaquie et créa sur son territoire le protectorat de Bohe^me et la Slovaquie "indépendante" sous la protection du Reich. Les événements du 15 mars 1939 transformèrent radicalement les opinions des milieux politiques influents d'Angleterre, en mars-mai 1939, c'est-à-dire à un aide militaire directe de cette dernière à la Pologne, la Roumanie, la Grèce, la Turquie, en cas d'agression non provoquée contre elles. Pour la première fois depuis la Première Guerre mondiale, on réinstaura les services militaire obligatoire en Angleterre. Le gouvernement de Chamberlain demanda à l'Urss d'expliciter sa position en cas de menace d'agression contre la Pologne et la Roumanie. Mais en même temps, il commença à sonder en secret les intentions de l'Allemagne sur la possibilité de conclure un accord politique qui aurait garanti la sécurité de l'Angleterre. De son côté, l'Urss menait également un double jeu. En avril 1939, elle entama des pourparlers avec l'Angleterre et la France pour la conclusion d'une alliance militaire.  Simultanément,  elle tentait de connaître la position de Berlin sur un accord politique entre la Russie soviétique et l'Allemagne contre les intérêts de l'Angleterre et de la France-7.
Casalino Pierluigi.

sabato 23 maggio 2020

L'axe Moscou-Berlin (1939-1941)-6.

Des informations sur un accord prochain entre la Russie soviétique et l'Allemagne circule'rent dans les chancelleries et la presse occidentales au printemps- été 1937. L'Union soviétique décida de démentir formellement ces rumeurs, mais elle ne le fit qu'en avril 1937, deux mois après le refus catégorique de Hitler d'entamer des pourparlers politiques avec Moscou. Hitler se servit des avances qui lui faisait la Russie pour effrayer la Grande Bretagne à la perspective d'un rapprochement soviéto- allemand. Au début de l'année 1936, les milieux militaires et diplomatiques britanniques prenaient cette menace très au sérieux. L'attaché militaire allemand à Londres fit allusion, dans une conversation avec Dill, le chef d'état-major britannique, à de fortes tendances prorusses au sein de l'armée allemande et au fait qu'un accord germano soviétique pourrait bien devenir un fait accompli si l'Allemagne et la Grande Bretagne ne s'entendaient pas auparavant. On supposait à Londres que que la politique de rapprochement germano soviétique bénéficiait du soutien de la Reichswehr, de Schacht, d'un groupe d'industriels et même d'une partie des nazis, mais que Hitler était résolument opposé à toute amélioration des relations avec l'Urss, sauf sur le plan commercial. Les milieux politiques britanniques croyaient à tort que c'étaient les Allemands qui avaient pris l"initiative du rapprochement germano soviétique. Le Foreign Office craignait que le système de de sécurité collective ne s'écroulait, auquel cas le rapprochement germano soviétique serait inévitable. Seule la politique de sécurité collective pourrait éviter un accord germano soviétique. Cependant, en Union soviétique, la situation ne faisait qu'empirer. Une terreur encore jamais vue s'installait. En janvier 1937, au cours d'un procès public de Moscou, Karl Radek qui jouait à la fois le rôle d'accusé et de principal témoin à charge, avoua ses soi-disant trahison et activités d'espionnage au profit de l'Allemagne. Mais ces mensonges ne lui sauvèrent pas la vie pour longtemps. En mars 1938, l'Allemagne annexa l'Autriche. Le 30 septembre, elle obtint l'accord de l'Angleterre et de la France pour la séparation des Sudètes de la Tchécoslovaquie. Mais....La nervosité de Moscou provoqua la création d'un gouvernement fantoche de l'Ukraine transcarpatique sur le territoire de l'ancien Empire russe arraché à la Tchécoslovaquie. Le bruit courut que les Allemands ressuscitaient leur project de création d'un État ukrainien vassal, mais formellement indépendant. Dans ces conditions, Staline décida de recouvrir une fois de plus à son double jeu favori. Dans don rapport au XVIII congrès du parti, le 10 mars 1939, il avertit l'Angleterre et la France que leur politique de "non-intervention" se solderait par un fiasco et fit allusion à un réexamen éventuel de la politique extérieure soviétique. Cette prophétie se réalise bientôt.
Casalino Pierluigi 

1922. Dalla conferenza di Cannes a quella di Genova e la nascita dello spirito di Rapallo. Il ruolo dell'ambasciatore Tommasi della Torretta negli affari internazionali e nei rapporti italo russi.

A Sanremo si era cominciato a parlare della possibilità che Germania e Russia, le grandi escluse dalla conferenza di Versailles potessero essere riconsiderate nella prospettiva della ricostruzione economica del Vecchio Continente prostrato dalla Grande Guerra. Nel 1922 il problema divenne più acuto e fu posto all'ordine del giorno della conferenza di Cannes, senza tuttavia approdare ad un granché anche per il defilarsi,per motivi diversi, della Francia, organizzatrice del vertice. Il premier inglese Lloyd George, ben determinato a portare avanti il discorso, riuscì a riportare i lavori alla conferenza di Genova dello stesso anno  dove Germania e Russia furono invitate. L'incontro si rivelò un vero fiasco, ma i due paria delle relazioni internazionali, Germania di Weimar e Russia sovietica conclusero a Rapallo un accordo separato dal resto della conferenza. I termini dell'intesa, noti come Rapallo Geist, sbloccarono la situazione, innestando il processo di rilancio economico anche del resto del mondo. L'urgenza di consentire alla Germania di pagare i debiti di guerra allargando le sue possibilità di intervento sul mercato russo, promossa dagli inglesi, dischiuse comunque le porte ai riconoscimenti diplomatici di molti stati europei e non della Russia bolscevica. Da segnalare in questo approccio, dopo l'ostilità occidentale del triennio 1917-1920 verso l'esperimento rivoluzionario russo, il lavoro intelligente e prudente dell'ambasciatore italiano Pietro Tommasi della Torretta, rappresentante del Regno d'Italia fino al 1918 in Russia, prima a San Pietroburgo e poi a Mosca. Tommasi della Torretta, già presente a Cannes insieme al presidente del consiglio italiano Bonomi, si adoperò con tatto e pazienza per un nuovo ordine economico da ricreare sulle rovine del primo conflitto mondiale. Il diplomatico italiano si distinse per la sua capacità di comprendere gli sviluppi rivoluzionari in Russia, forte di un'esperienza maturata in quel Paese, anche negli anni dell'ultimo zarismo. In quella circostanza Tommasi della Torretta si impegnò soprattutto per un incremento dei rapporti economici Italo russi. Nel 1911 il della Torretta si assicurò il formale nulla osta della Russia nei confronti della conquista italiana della Libia. Sospettoso in ogni caso delle iniziative dei bolscevichi, avvertì per tempo il governo italiano che i rivoluzionari avrebbero firmato una pace capitolarda con la Germania imperiale (liberando questa dal peso sostenuto sul fronte orientale), con riflessi negativi non solo sul piano degli equilibri bellici in atto, ma anche in relazione alla situazione interna dell'Italia. Fu oggetto di intimidazione da parte di attivisti massimalisti russi nell'esercizio delle sue funzioni diplomatiche. Nell'occasione, pur non venendo meno il suo spirito di mediazione, si rese subito conto della pericolosità del movimento comunista e delle sue mire totalitarie.  
Casalino Pierluigi 

La Conferenza di Cannes, gennaio 1922.

La Conferenza di Cannes prese atto delle gravi difficoltà economiche degli Stati vincitori della prima guerra mondiale e di fronte all'impossibilità da parte della Germania di poter pagare i debiti di guerra, si decise di stabilizzare la situazione nella Russia post zarista e bolscevica, al fine di consentire a Berlino di espandere i propri commerci in Russia e migliorare la congiuntura interna. Per un completamento di tali obiettivi si rinvio il tutto alla conferenza in programma a Genova. Per la cronaca si ricorda che l'ufficio di collegamento per la sicurezza della delegazione italiana a Cannes operava in stretto contatto con il commissariato di p.s. di Ventimiglia. A Genova la trattativa si rivelò comunque un vero fiasco e fu anche per questo motivo che i due Stati paria usciti dalla prima guerra mondiale, la Germania di Weimar e la Russia sovietica si accordarono in segreto e separatamente dal resto delle delegazioni presenti nel capoluogo ligure (Rapallo Geist).
Casalino Pierluigi.

venerdì 22 maggio 2020

L'axe Moscou-Berlin(1939-1941)-5.

Après la conclusion de l'accord économique soviéto-allemand, Staline était persuadé que les pourparlers avec l'Allemagne étaient en bonne voie: "Très bientôt, nous aboutirons à un excellent accord avec l'Allemagne", diit-il à Ejov, le commissaire de l'intérieur. Krivitsky reçut l'ordre en décembre 1936 de mettre fin aux activités d'espionnage en Allemagne. Mais le 11 février 1937, von Neurath, le ministre des Affaires étrangères allemand, annonça à Schacht que les propositions soviétiques avaient été repoussées, a cause de l'accord soviéto- français d'assistance mutuelle et de l'activité du Komintern. Mais en même temps, Neurath précisa que si en Urss les événements continuaient d'évoluer vers l'instauration d'un despotisme absolu, de plus en plus dépendant des militaires, l'Allemagne pourrait reconsidérer sa politique à l'égard de la Russie soviétique. Hitler n'avait pas seulement en vue l'instabilité intérieure de l'Urss et la politique de sécurité collective hostile à l'Allemagne. Il tenait aussi compte de la faible réaction de l'Angleterre et de la France à la remilitarisation de la Rhénanie et la dénonciation du pacte de Locarno. Cette attitude des pays d'Europe occidentale confirmait, selon lui, que l'Allemagne n'avait pas à craindre de résistance active de leur part dans son entreprise d'expansion. Hitler avait décidé que, pour le moment, il était plus avantageux de jouer la carte anti soviétique.-5.
Casalino Pierluigi 

giovedì 21 maggio 2020

L'axe Moscou-Berlin (1939-1941)-5.

Lorsque l'Allemagne accorda un crédit important à l'Union soviétique, Staline comprit ce geste comme une volonté de de parvenir à un accord. Lors d'une réunion du Politburo, Staline s'éleva contre une communication du NKVD:"Comment Hitler pourrait-il nous faire la guerre alors qu'il nous accorde des crédits pareils? C'est impossible. Les milieux d'affaires allemands son assez puissants et ce sont eux qui gouvernent. Ni la confrontation avec l'Allemagne en Espagne, ni la signature du pacte "antikomintern" germano-japonais en 1936 n'ebranle'rent sa certitude de pouvoir conclure une entente avec l'Allemagne. Fin mai 1936, Kandelaki et Friedrichisohn (son remplaçant) rencontrent Goering, qui non seulement s'intéressa vivement à un développement des relations société allemandes, mais promit aussi d'arranger la situation du côté de Hitler. En juillet, le conseiller d'ambassade Bessonov eut une conversation avec Hoenke, un haut fonctionnaire du ministère des Affaires étrangères allemande, et il évoqua les conditions concrètes de la conclusions d'un pacte de non-agression soviéto-allemand. Hoenke expliqua que, selon le gouvernement allemand, les pactes de non-agression n'avait de sens qu'entre les États ayant des frontières communes, ce qui n'était pas le cas de l'Allemagne  et de la Russie soviétique. Cette déclaration fut d'une importance cruciale pour l'avenir des relations soviéto-allemandes. En adécembre 1936 et en février 1937, Schacht rencontra de nouveau Kandelaki et Friedrichisohn. Il leur expliqua que les relations commerciales pourraient se développer à la condition que le gouvernement soviétique renonça^t a la propagande communiste à l'extérieur de ses frontières. Selon les notes de Schacht, Kandelaki fit part de sa "sympathie et compréhension". Sur mission de Staline et Molotov, Kandelaki donna lecture de l'avis qu'il avait formulé par écrit. Il consistait en ceci: le gouvernement russe ne s'est jamais opposé à des pourparlers politiques avec l'Allemagne. Sa politique ne va pas à l'encontre des intérêts allemandes et il est prêt à entamer des pourparlers concernant une amélioration de leurs relations. Schacht proposa à Kandelaki que sa communication fût transmise officiellement par l'ambassadeur soviétique à Berlin.-5, a
Casalino Pierluigi 

L'attrazione letale (tra la Germania e la Russia sovietica)

Vedi su Comunicati l'articolo di Pierluigi Casalino sull'argomento.

mercoledì 20 maggio 2020

Pierluigi Casalino blog 2020,1922-1930. LA COLLABORAZIONE MILITARE TRA LA GERMANIA E LA RUSSIA SOVIETICA,Scritto il GENNAIO 7, 2012, 1922-1930. LA COLLABORAZIONE MILITARE TRA LA GERMANIA E LA RUSSIA SOVIETICAIl punto fondamentale dei rapporti russo-tedeschi era rappresentato dagli accordi militari segreti, frutto delle intese raggiunte da Cicerin e Rathenau a Rapallo nel 1922 vedi il mio “PRIMA DE “IL TEMPO E LA MEMORIA”- Casalino Pierluigi, Ennepilibri, Imperia, 2006- , dove vengono riportate le considerazioni di mio padre Casalino Michele sulle segrete operazioni russo tedesche, promesse tra gli Anni Venti e Trenta, in tema di riarmo tedesco e collaborazione dei militari tedeschi – ma anche italiani, in seguito – con la Russia sovietica), anche nel ricordo del sostegno fornito dalla Germania a Lenin per tornare in Russia e far scoppiare la rivoluzione bolscevica del 1917. Dato che gli unici ad essere iniziati ai particolari di questa collaborazione erano i personaggi direttamente interessati, e che la documentazione, per lo meno quella di fonte tedesca, fu sistematicamente distrutta, le notizie in proposito sono sporadiche e incomplete. L’aspetto meglio documentato, che probabilmente era quello più importante, era quello della collaborazione nel settore aeronautico. Immediatamente dopo la firma del trattato di Locarno, il 1° dicembre 1925, Stresemann rinnovò con i russi l’accordo stretto a Rapallo nel 1922; quando la Germania entrò nella Società delle Nazioni lo stesso Stresemann dichiarò che il suo paese non poteva restare disarmato com’era, e partecipare a sanzioni contro il regime bolscevico: velata affermazione di neutralismo verso la Russia sovietica. D’altra parte l’amicizia russo tedesca non era certo sincera, ma basata sulla convenienza reciproca e lo sapevano tutte e due le parti interessate: i generali e i conservatori tedeschi, che promossero quell’accordo, disprezzavano i bolscevichi e consideravano i russi esseri inferiori (analogamente si espresse, del resto, Hitler) e, dal canto loro, i russi mostravano un’amicizia formale verso la Germania e non soltanto per la riconoscenza che Lenin nutriva per quell’aiuto logistico tedesco, che gli aveva consentito di rientrare in patria, ma in base proprio alla massima leninista, secondo la quale ad una persona bisogna stringere la mano se le si vuole poi stringere la gola. Dell’esistenza di tali intese e di molti dettagli di esse, in realtà, mi parlò anche mio padre Casalino Michele (il protagonista de “IL TEMPO E LA MEMORIA” di Casalino Pierluigi, Ennepilibri, Imperia,2006), soprattutto quando commentava la firma, il 23 agosto 1939, del patto nazi-sovietico Molotov-Ribbentrop. Casalino Michele sottolineava la vastità della collaborazione militare italo-tedesca con la Russia di Stalin, fino quasi a ridosso dell’operazione Barbarossa, lanciata nel giugno del 1941 da Hitler. Nelle fabbriche sovietiche, a conti fatti, la Germania aveva aggirato il disarmo impostole a Versailles, e contemporaneamente non rispettava l’embargo decretato dalle potenze occidentali contro la Russia sovietica. La collaborazione russo tedesca nell’ambito aeronautico fu assai stretta e proficua. In Russia era stata aperta una fabbrica di aeroplani Junkers e di motori di aeroplani della Bayerische Motorenwerke, che serviva sia all’Aviazione Rossa, che alla Reichswehr. Nonostante il reciproco vantaggi, i contrasti tra i due partner nella direzione e nell’organizzazione delle attività restavano, anche in ragione delle esigenze delle ditte tedesche impegnate (si leggano sull’argomento “THE RUSSIAN FACE OF GERMANY, di C.F.Melville, 1932, e l’opuscolo redatto dai socialdemocratici tedeschi, datato 1927, “SOWJET GRANATEN). Uno dei problemi più seri fu quello della costruzione in loco dei motori: problema che non fu mai pienamente risolto. Tuttavia a Lipestsk, nella Russia centrale, venne messo a disposizione dell’aviazione militare tedesca un grande campo d’aviazione. Esso aveva due funzioni: addestrare i piloti tedeschi e provare gli aeroplani militari più moderni, dal momento che per le restrizioni imposte dal trattato di Versailles, nessuna delle due cose era realizzabile in territorio tedesco. L’addestramento vero e proprio cominciò nel 1925. a Lipetsk nessun aviatore sovietico si addestro, però, anche ex ufficiali tedeschi, rimossi dal servizio attivo appositamente per questo scopo, lavoravano come istruttori presso l’aviazione militare sovietica. Sugli altri momenti della collaborazione militare e in tema di armi tra russi e tedeschi si dispone di documentazione più scarsa. La fabbricazione di bombe per la Reichswehra nelle fabbriche sovietiche proseguì senza sosta e, quando, nel dicembre del 1926, venne alla luce in qualche modo in Germania, provocò uno scandalo, peraltro subito contenuto. Una fabbrica tedesca con sede legale a Mosca costruiva, in diversa località, bombe per sia la Reichswehr che per l’Armata Rossa. A Kazan, intanto, funzionava una fabbrica di carri armati, alcuni dei quali utilizzati, fin alla vigilia della guerra, in manovre congiunte russo tedesche in alcune regioni meridionali della Russia, la cui popolazione veniva allontanata nell’occasione, per evitare sguardi indiscreti (anche le notizie dello svolgimento di queste manovre, alle quali erano presenti anche osservatori militari italiani, erano in possesso di Casalino Michele, tramite lo Stato Maggiore Italiano). Voci della collaborazione germano-sovietica giunsero alla autorità polacche e presero corpo in una pubblicazione ufficiosa polacca. Note confidenziali circolavano, tuttavia, tra le cancellerie, che sottolineavano che, nonostante le perplessità e le diffidenze di Hitler, la collaborazione proseguiva. La circostanza, al tempo stesso, consentiva soprattutto ai tedeschi di valutare la consistenza della difesa sovietica e di accertarsi, di conseguenza, di quanto inferiore fosse la preparazione russa. E, a loro volta, i russi, che temevano di non essere trattati in piena uguaglianza e dignità, non mancavano di infiltrare l’intelligence tra i tedeschi, se pur questi ne fossero al corrente. Queste difficoltà impedirono il consolidarsi di un rapporto di completa amicizia tra russi e tedeschi, come d’altra parte era evidente. Entrambe le parti avevano riserve di carattere politico e personale; entrambe erano consapevoli di tanto in tanto della possibile alternativa costituita dall’avvicinamento all’Occidente. Ma nessuna delle due parti dimenticò mai i vantaggi pratici della collaborazione nel settore militare, come il patto Molotov Ribbentrop dimostrò con i suoi scellerati protocolli segreti ai danni della Polonia. La funzione svolta dalla cooperazione militare tra Berlino e Mosca, particolarmente nel decennio 1920-1930 3 e oltre, nell’edificazione della Reichswehr e dell’Aviazione Rossa, fu ampiamente giustificata nell’ottica dei rispettivi obiettivi. Casalino Pierluigi.

L'axe Moscou-Berlin (1939-1941)-4.

Trois mois et demi après la visite d'Eden à Moscou, en juillet 1935, Staline ordonne à son homme de confiance, David Kandelaki, représentant commercial à Berlin, d'entamer des pourparlers pour une amélioration des relations politiques germano soviétiques. A cette époque, Kandelaki dirigeait les pourparlers concernant les relations économiques avec Hjalmar Schacht, le président de la Banque du Reich, étroitement lié aux milieux financiers et industriels allemands. Or, selon Staline, la grande industrie était le vrai patron de Hitler, de telle sorte qu'en s'adressant à Schact, il s'adressait directement au patron. De même Kandelaki menait de pourparlers avec Hermann Goering, considéré à Moscou comme un trait d'union entre les milieux industriels et le gouvernement allemands. Parallèlement à ces entretiens, l'ambassadeur Sourits et le conseiller de l'ambassade soviétique à Berlin, Bessonov appuient "l'initiative Kandelaki". Le 21 décembre 1935, Bessonov déclare carrément au ministère des Affaires étrangères allemande qu'il serait souhaitable de compléter l'accord de Berlin de 1926 sur la neutralité par "un pacte de non non-agression bilatéral entre l'Allemagne et la Russie soviétique". A cette époque Moscou se livrait à un réexamen de son attitude à l'égard du national-socialisme allemand. Les journalistes soviétiques à Berlin et les diplomates de l'ambassade allemande étaient quelque peu abasourdis lorsque, en traversant la capitale allemande (1936), Eliava, le commissaire adjoint au commerce extérieur (qui avait ses entrées chez Staline grâce à de vieilles relations), fit comprendre que "là-haut", on appréciait l'hitlérisme "différemment", autrement que ne le faisaient la presse et les diplomates soviétiques à Berlin. Schacht proposa à Kandelaki de discuter le problème d'une amélioration des relations soviétoallemande. Il promit, de son côté, d'informer le ministère des Affaires étrangères allemande de la demande soviétique. Au cours des années 1935 et 1936, Staline continuait à compter sur un accord avec Hitler, bien que la section internationale du NKVD l'eût averti que "toutes les tentatives visant à apaiser Hitler avaient fait fiasco. L'obstacle principal à une entente avec Moscou, c'est Hitler lui-même".
Casalino Pierluigi.

martedì 19 maggio 2020

L'axe Moscou-Berlin (1939-1941)-3.

Le 30 juin 1934, quatre mois après le XVII e congrès du Parti Communiste russe, Hitler élimina ses anciens compagnons. Ce événement furent probablement le point de départ d'un tournant dans le jugement de Staline sur la situation allemande, et même dans ses propres relations avec la vieille guarde bolchévique, qui lui pesaient déjà depuis longtemps, de même que Hitler était irrité et inquiet des prétentions de ses anciens camarades des sections d'assaut. La presse soviétique avait beau faire campagne en faveur de la sécurité collective et contre les menées agressives du nazisme, la responsable de cette campagne, Radek, expliquait avec une franchise cynique à Krivitsky, le chef de l'espionnage militaire soviétique en Europe:" Seuls des imbéciles peuvent croire que nous romprons un jour avec l'Allemagne. Ce que j'écris est une chose, mais en réalité il en va autrement. Personne ne pourrait nous donner ce que nous donne l'Allemagne. Pour nous, il est presque impossible de rompre avec elle. Radek avait sans doute en vue non seulement la collaboration militaire, mais aussi l'aide technique et économique importante dont l'Urss avait bénéficié au cours du premier plan quinquennal. On peut affirmer avec certitude que l'aide économique étrangère, et allemande en particulier, avait joué un rôle décisif dans l'édification de l'industrie soviétique. L'Urss formule deux propositions à l'Allemagne, coup sur coup: offrir une garantie commune aux États baltes, prendre part à un "pacte de l'Est" qui offrirait la sécurité à tous ses participants. Hitler repousse le deux propositions. La politique de la sécurité collective, c'est à dire d'un rapprochement avec la France et l'Angleterre, se renforce. A présent, Staline nourrit un nouvel espoir, celui de voir l'Allemagne désirer améliorer ses relations avec la Russie soviétique, par crainte d'un encerclement. M.I. Kalinine, président du Comité central exécutif des Soviets, dit au nouvel ambassadeur allemand à Moscou, von Schulenburg: "Il ne faut pas accorder une trop grande importance aux vociférations de la presse. Le peuples l'Allemagne e de l'Union soviétique sont liés par de multiples aspects et dépendent  beaucoup l'un de l'autre. Staline tente de produire la même impression sur Anthony Eden, s'efforçant de l'effrayer par la perspective d'une alliance soviets allemand, afin de dissuader la Gran Bretagne de s'accorder avec l'Allemagne aux dépens de l'Union soviétique. Par exemple, il annonce à Eden que les entretiens germano soviétiques concernant les crédits, portent sur des marchandises qu'il est même gênant d'évoquer ouvertement: armements, industrie chimique, etcetera. Eden (avec agitation): Comment? Est-il possible que le gouvernement allemand ait accepté de livrer des armes pour votre Armée Rouge ? Staline: oui, et sans doute, dans le jours qui viennent, signeront-nous un accord pour un emprunt. On joue gros jeu. Si on réussit à persuader les Anglais qu'on ne peut faire confiance à Hitler, le danger d'un accord anglo-gremanique contre la Russie soviétique sera écarté et il ne restera plus à Hitler qu'à rechercher un accord avec Moscou- 3.
Casalino Pierluigi 

lunedì 18 maggio 2020

L'axe Moscou-Berlin (1939-1941)-2.

C'est encore la ligne définie par Staline dans son rapport au XVII e congrès du PC(b), en février 1934. Il est assez prudent lorsqu'il caractérise la situation allemande. Il fait observer qu'on a "tort de qualifier de national-socialisme" le fascisme de type allemand, "car l'examen le plus attentif ne permet pas s'y découvrir même un atome de socialisme". Mais qu'en est-il de la première moitié du sigle, du nationalisme? Staline laisse cette question ouverte. Il commence seulement à reconsidérer l'attitude traditionnellement défavorable du parti à l'égard du nationalisme en général, y compris le nationalisme russe. Bientôt paraissent les célèbres observations de Staline, Kirov et Jdanov sur le projet du manuel de l'histoire de l'Urss. L'attitude à l'égard du passé historique change et simultanément on commence à reconsidérer l'attitude à l'égard du fascisme et en particulier du fascisme allemand. Staline considérait le parti nazi comme un instrument de la grande industrie et de la Reichswehr. Il ne comprenait pas le caractère relativement autonome du mouvement nazi. Croyant la Reichswehr maître de la situation et ayant à l'esprit l'ancienne collaboration militaire germano soviétique, il ne pouvait saisir toute la menace que représentait le fascisme allemand. "Nous sommes loin de nous exstsier devant le régime fasciste en Allemagne, disait Staline au XVII e congrès du PC(b). Mais il ne s'agit pas ici du fascisme, ne serait-ce que parce qu'en Italie, par exemple, le fascisme n'a pas empêché l'Urss d'instaurer les meilleures relations avec ce pays. La porte d'une entente avec l'Allemagne restait ouverte.-2.
Casalino Pierluigi 

sabato 16 maggio 2020

L'axe Moscou-Berlin (1939-1941)-1.

Les événements se précipitaient: on allait vers une nouvelle guerre mondiale. Toute la seconde moitié des années Trente était placée sous le signe de conflits politico-militaire croissants. En 1935, l'Allemagne rompt les dispositions militaires du traité de Versailles et instaure le service militaire obligatoire. Staline fait preuve de compréhension, il approuve même ce nouveau pas vers la guerre. Fin mars 1935, il dit à Anthony Eden, au cours de leurs entretiens au Kremlin: "Tot ou tard, le peuple germanique devait se libérer des chaînes de Versailles...Je le répète, un grand peuple comme le peuple germanique, devait s'arracher des chaînes de Versailles. Staline répète a plusieurs reprises:"Les Germains sont un peuple grand et courageux. Nous ne l'oublions jamais".Il évoque les Germains, et non les Allemands, reprenant ainsi le nom des tribus qui menaçaient les frontières de l'Empire romain et celui que les Russes donnaient aux soldats allemands, au cours de la Première Guerre mondiale. Staline est impressionné par leur "grandeur", leur "courage". Il lui importe peu que cette Allemagne soit national-socialiste. Il y a une logique de fer. Maintenant que le système de Versailles à volé en éclats, il est temps d'entreprendre des actions communes. En fait, Staline a déjà manifesté plus d'une fois sa volonté d'accord politique avec l'Allemagne nazie. Un examen de la préhistoire du pacte germano soviétique du 23 août 1939 fournit des arguments suffisamment convaincants à l'appui de cette thèse et sur ce argument je renvoie à mes articles sur le web" Attraction fatale"-comunicati.net- et "La collaboration militaire entre l'Allemagne et la Russie soviétique"-blog 2020, pierluigicasalino.org.Altervista- et encore sur le Rapallo Geist". Hitler devint chancelier du Reich en janvier 1933; trois mois après, dans la Première moitié du mois de mai 1933, un groupe d'officiers supérieurs allemands, avec à sa tête le général Bockelberg, visita Moscou. Vorochilov, le commissaire à la défense, prononça un discours à la réception à l'honneur de la délégation militaire allemande et il souligna le désir l'Armée Rouge de conserver ses relations amicales avec la Reichswehr. C'est à peu près à cette époque-la que Staline lut la traduction russe dei Mein Kampf. Si ne fu pas totalement convaincu des plans anti soviétiques d'Hitler, supposant sans doute qu'une bonne part des déclarations d'Hitler n'étaient que propagande, il se devait cependant de réagir. Les relations avec la Reichswehr furent interrompues et ses installations en territoire soviétique, fermées. Pourtant, la question des relations futures entre l'Allemagne et la Russie soviétique restait indécise. Le gouvernement soviétique continuait à espérer qu'à après la période de crise de la prise du pouvoir par les nationaux-socialistes, il serait possible de rétablir la concorde antérieure. A. Enoukidze', secrétaire du Comité central exécutif d'Urss, le déclara franchement à son hôte, l'ambassadeur allemand à Moscou, von Dirksen, le 16 août 1933:" L'enterprise de transformation national socialiste, diit-il, peut avoir des conséquences favorables sur les relations germanosoviétiques". Enoukidze' cherchait et trouvait visiblement des lignes de développement communes, des traités de ressemblance entre national-socialisme allemande et le communisme soviétique. A la fin de l'année 1933 et au début de 1934, c'est-à-dire au moment précis où le gouvernement est en train de décider de l'orientation de sa politique extérieure vers un système de sécurité collective, ses avances à l'Allemagne pour renouer des relations amicales se succèdent avec persistance. Le 6 novembre 1933, le maréchal Toukhatchevski, ministre adjoint de la Défense  déclare à  von Twardowsky, conseiller de l'ambassade allemande à Moscou: "En Union soviétique, la politique de Rapallo demeure la plus populaire". On a n'oublierait jamais que la Reichswehr avait été le précepteur de l'Armée Rouge pendant les années difficiles. L'Armée Rouge saluerait très vivement une reprise de la collaboration antérieure. Il faudrait seulement dissiper les appréhensions concernant une politique agressive de l'Allemagne à l'égard de l'Union soviétique. M.M.Litvinov, commissaire du peuple aux Affaires étrangères, déclara dans son entretien avec Mussolini, le 4 décembre 1933:"Nous voulons avoir les meilleurs relations possibles avec l'Allemagne. Cependant, Moscou redoute une alliance entre l'Allemagne et la France et tente de la prévenir en se rapprochant elle-même de la France. Le 13 décembre 1933, Litvinov répète à Nadolny, l'ambassadeur allemand à Moscou:"Nous n'entreprenons rien contre l'Allemagne...Nous n'avons pas l'intention de participer à aucune  intrigue contre l'Allemagne..." Cette idée fut ensuite développée par Molotov et Litvinov dans leurs interventions le 29 décembre 1933 à la IV session du Comité central exécutif d'Urss, peu après la décision du C.C. du PCR (b) sur le développement de la politique, visant à créer un système de sécurité collective en Europe. En 1934, la Russie soviétique adhéra à la S.D.N et en devint un membre actif. Pourtant, malgré ce tournant officiel dans sa politique extérieure, Staline décida de maintenir secrètement l'orientation ancienne en direction de l'Allemagne. -1
Casalino Pierluigi.

Monsignor Viganò capofila di una linea ultraconservatrice che nulla ha a che fare con la sana dottrina.

Quando nel lontano passato si imputava a Dio l'invio di flagelli come la peste per punizione dei peccati, ora l'ultradestra conservatrice americana in cui si identifica Mons. Viganò rinnova simili pensieri. Dio non manda il male, ma è se mai l'uomo che crea le condizioni del male con i suoi comportamenti. Tali argomenti vengono riproposti da Monsignor Viganò e da altri per alterare l'ordine della Chiesa e seminare divisione a tutto vantaggio di forze oscure. In un momento storico in cui occorre unirci in preghiera intorno al Papa, Vicario di Cristo, si levano voci pericolose che con il pretesto infondato di accusare Papa Francesco di cedimenti dottrinali (circostanza esclusa per la presenza dello Spirito Santo che assiste i Pontefici ne Magistero), mirano a mettere in forse l'unità e la forza della Chiesa, secondo i disegni demoniaci di poteri occulti. Il Papa reagisce nel modo migliore. Noi dobbiamo sostenerlo e pregare.
Casalino Pierluigi 

venerdì 15 maggio 2020

La Russie soviétique en 1937

En 1937, la chanson française Tout va très bien, Madame la marquise...devient très populaire. Écrite en France en 1935, elle pénètre en Urss à unevvitesse extraordinaire. Sans doute les autorités estiment-elles qu'elle reflète assez bien la situation au pays du socialisme. Toutes les exécutions et les arrestations d'ennemis ne concernaient pas le peuple. Selon Staline, ce peuple vivait déjà sous le socialisme, il était heureux, satisfait du pouvoir soviétique. Le peuple russe est toujours satisfait du pouvoir.
Casalino Pierluigi.

Staline et la machine de la terreur.

Staline tient bien en main la machine de la terreur. Anthony Eden, qui l'admire, raconte qu'en décembre 1941, Staline, au cours d'une conversation, fit observer soudain que Hitler avait révélé un génie exceptionnel. Il avait su amener le peuple allemand à obéir aveuglément à sa volonté. Mais, ajouta-il, Hitler a montré qu'il a un défaut fatal. Il ne sait pas s'arrêter. Eden raconte qu'à ce moment là, il ne peut retenir un sourire. Staline, qui avait parlait très sérieusement, fut d'abord vexé et demanda ce qu'il avait dit de drôle. Mais il répondit lui-même à sa question: je réalise maintenant pourquoi vous souriez, Mister Eden. Vous êtes en train de vous demander si moi-même, je saurai m'arrêter. Eh bien! Je puis vous assurer que je le saurai toujours. En 1938, Staline montra qu'il était capable de s'arrêter et d'arrêter la machine qui, semblait-il, se précipitait dans un gouffre. Le trait le plus caractéristique de l'État socialiste totalitaire est la négation officielle de la terreur. En 1918, le jeune Etat soviétique avait décrété la terreur rouge aux yeux du pays et du monde. L'achèvement de la construction du socialisme fut celui d'une société qui prenait les paroles du chef pour la réalité e qui rejetait la réalité dans la quelle elle vivait (lire sur le net mon "IL DEMONE RUSSO). La tradition de l'autocratie russe devenue communiste. Une tradition qui se répète avec la Russie post soviétique d'aujourd'hui.
Casalino Pierluigi.

giovedì 14 maggio 2020

1918-1920.Lénine et l'esprit destructeur: de la paix honteuse à la dictature.

N.Berdjaev se trompait lorsqu'il estimait que le bolchevisme était formé le moins utopique, le plus réaliste, correspondant le mieux à la situation qui s'était formée dans la Russie de 1917. Le bolchevisme avait vaincu facilement car il proposait l'utopie: tout, pour tous, et tout de suite. "Le visage de la vérité est terrible, écrivait le philosophe espagnole Miguel de Unamuno, le peuple a besoin de mythes, d'illusions, il a besoin d'être trompé. La vérité est effrayante, insupportable, mortelle.". Les bolcheviks offrirent l'illusion:la paix avec l'Allemagne(les Allemands exigeaient la réalité,  c'est-à-dire des territoires) , la terre, le pain. La réalité fût une nouvelle guerre, la confiscation du grain, la famine. Et un terreur encore jamais vue.
Casalino Pierluigi 

mercoledì 13 maggio 2020

Il ruolo dell'ambasciatore italiano Pietro Tommasi, marchese della Torretta nella prima Russia sovietica.

Lo scrittore russo Berdjaev si sbagliava quando pensava che il bolscevismo fosse il meno utopistico, il più realistico delle forze in campo nel 1917, corrispondendo meglio alle condizioni della Russia del tempo. I bolscevichi avevano, invece  vinto facilmente perché avevano proposto l"utopia del tutto e subito. Il risultato fu il suo contrario e la fine delle illusioni. Il popolo ha bisogno di miti e di illusioni e si sbaglia, perché la realtà diventa spaventosa, insopportabile e mortale, diveva Unamuno. Ci fu una nuova guerra, la fame, la confisca del grano.Ed un terrore mai visto. Di tali sviluppi si rese conto ben presto l'ambasciatore italiano in Russia tra il 1917 e il 1918, che avvertì Roma delle intenzioni bolsceviche di firmare una pace separata con la Germania con probabili riflessi negativi sul fronte occidentale e in particolare in Italia. Non solo, egli cercò di comprendere il nuovo corso della storia russa e lavorò per il recupero di un rapporto dell'Italia con la Russia, dopo la rivoluzione.
Casalino Pierluigi 

Islamic culture in Dante's thought

Islamic culture is present in Dante's works as I remembered on the web many times. Dante and Islam and Dante and Islamic philosophy by Casalino Pierluigi Laigueglia's scholar and writer on the web.

martedì 12 maggio 2020

Lénine et l'argent allemand.

La controverse sur l'argent allemand se poursuit encore de nos jours. Il faut diviser l'argument: Lénine était-il un agent allemand ? Les bolcheviks recevaient-ils de l'argent allemand? De tout temps, on a accusé les chefs des révolutions de recevoir de l'argent des puissances étrangères. Dans la majorité des cas, c'est la vérité. En juillet 1917, on publia des documents témoignant des relations les bolcheviks Ganetski et Kozlovski et le social-démocrate Parvus, qui ne dissimulait pas ses liens avec le ministère des Affaires étrangères allemand. Lénine nia ces accusations avec acharnement. Mais ses dénégations étaient étranges et peu convaincantes. Par exemple, il écrivit que Ganetski n'avait fait que gérer les affaires commerciales dans la firme que dirigeait Parvus. Le parti, affirmait, ne pouvait avoir eu affaire à Parvus, car, dès 1915, Lénine l'avait traité de "Plekhanov allemand" et de "renégat léchant les bottes de Hindenburg". 
Espion, traître, agent de l’étranger : le révolutionnaire traîne une sulfureuse réputation chez une partie des Russes.

Lorsqu’il débarque de la gare de Finlande à Saint-Pétersbourg, en avril 1917, Lénine est déjà précédé d’une légende noire. « Non seulement Lénine arriva en Russie avec le consentement et l’approbation du gouvernement allemand, mais en Russie même il travailla avec le puissant soutien financier des ennemis de son pays », affirme Alexandre Kerenski, chef du gouvernement provisoire de juillet à octobre 1917 (1). L’homme, il est vrai, a quitté la Suisse dans un train d’exilés qui a pu traverser le Reich avec le soutien actif des autorités allemandes. Son mouvement a peut-être profité de subsides de ces dernières, même si aucun document ne l’a formellement attesté malgré les nombreuses recherches en ce sens. Nationalistes ukrainiens et surtout finlandais, militants antimonarchiques, mencheviks, socialistes radicaux… On sait que les services secrets du Kaiser donnaient beaucoup d’argent aux Russes exilés à l’étranger. Mais en dépit de toutes les dénégations de Lénine, de Trotski et d'autres chefs du part, aucun d'entre-eux n'expliqua comme il avait pu se faire que le parti ait édité en avril 1917, selon le chiffres officiels, 17 quotidiens tirés à 320.000 exemplaires, soit 1415000 d'exemplaires pour semaine.  Trotski affirme que l'argent nécessaire à la presse bolchévique était fourni par les ouvriers. Toutefois, il est difficile d'imaginer que, dans le contexte d'une inflation sévère, les ouvriers aient pu réunir chaque semaine de miliers er des centaines de milliers de roubles pour un parti qui était loin d'être le seul parti ouvrier, ni même le parti socialiste principal. Mark Aldanov, témoin de la révolution, écrivain de talent et historien pénétrant, rêvait en 1935 : "Les grands-livres de la Wilhelm-strasse pourraient bien être un document un document précieux pour l'histoire de la révolution d'Octobre, mais l'histoire n'y aura pas accès de sitôt. Du reste, il est probable que les articles des grand-livres sont des documents unilateraux: dans ce cas là,  on ne donne pas de reçus." Aldanov se trompait. L'histoire a déterré les grands-livres du ministère des Affaires étrangères  du Reich, seulement dix ans après qu'il écrit ces lignes. Il avait cependant raison  en ceci qu'on ne trouva de reçus signés de Lénine,  mais seulement des documents allemands prouvant que le bolcheviks avaient reçu de l'argent allemand. Cependant l'argent allemand n'explique pas le succès de la propagande bolchévique. Il permit de la mener sur un grand pied, mais le gouvernement disposait de fonds tout aussi importants. Encore fallait-il savoir en user. L'échec de juillet et la convinction générale que les bolcheviks son des agents allemands, marquent un temps d'arrêt dans la progression de Lénine vers le pouvoir.


Casalino Pierluigi. 




lunedì 11 maggio 2020

Peste e Coronavirus.

Quando la peste imperversava si credeva che il flagello fosse un castigo mandato da Dio per i peccati degli uomini. Dio non manda il male essendo Bontà Infinita. Anche oggi l'ultradestra cattolica americana si esprime in questi termini, strumentalizzando il Covid 19 come arma contro i cosiddetti cedimenti dottrinali di Papa Francesco, ignorando che lo Spirito Santo agisce in lui come sempre ha agito nei papi che lo hanno preceduto.  Analoghe e sciocche accuse al Papa per accettato la chiusura delle chiese, vanno respinte decisamente. Il Papa parla per il bene dell'uomo.
Casalino Pierluigi 

sabato 9 maggio 2020

Cosa ci aspetta dopo il Coronavirus ?

Dopo il Coronavirus nulla potrà essere come prima se non riporteremo la natura al suo originale equilibrio. Dio non manda castighi, essendo Bontà Infinita, ma è l'umanità degenere che rovina il Creato e inventa il proprio male. Anche in passato, durante le epidemie, si pensava che il miglior modo per sottrarsi ad esse fosse quello di credere che si trattava di una punizione divina. I peccati degli uomini, in realtà, sono all'origine del male, ma anche l'ignoranza delle leggi della Natura. Bene mette in guardia Papa Francesco contro le tentazioni dell'ultradestra cattolica americana e non di scaricare tutto sul piano del castigo divino. Lo scopo della preghiera è la salvezza dell'anima e del corpo, al fine di ottenere con la fede quella luce che illumina il mondo e soprattutto l'intelligenza. Non ci sono cedimenti dottrinali in Papa Francesco, che invece recupera il senso autentico della scrittura. Nulla è scontato, non esiste predestinazione, ma la fede, la speranza e la carità in seno alla preghiera aprono vie di rinascita. Anche in tal modo Papa Francesco ci invita a guardare oltre l'orizzonte quotidiano, un orizzonte sempre meno dipendente dalla cattiva coscienza e dalle malattie. Un mondo nuovo che si andò affacciando dopo le calamità del passato. A differenza di ciò che potrebbe accadere dopo la spaventosa pandemia che stiamo vivendo.
Casalino Pierluigi 

domenica 3 maggio 2020

Cent'anni fa la Conferenza di pace di Sanremo ovvero l'invenzione del Medio Oriente.


Sanremo venne scelta come sede della Conferenza per decidere le sorti dell'ormai ex impero ottomano per la qualità delle infrastrutture alberghiere e per essere una rinomata località di villeggiatura a quaranta chilometri dal Principato di Monaco. Nell'aprile 1920 fu firmata la cosiddetta Risoluzione di Sanremo, con la quale si sanciva la divisione del Medio Oriente e si assegnava un mandato alla Gran Bretagna per la Palestina, in vista della creazione di un focolare domestico nazionale del popolo ebraico, che si realizzerà solo nel 1948 con la fondazione dello Stato di Israele. Un appuntamento di Sanremo, quello di cent'anni fa, con la Storia, che va ricordato, nonostante l'attuale stagione infelice del Coronavirus. La Conferenza di pace di Sanremo non risolse tutti i problemi del dopo guerra relativi agli ex possedimenti ottomani, anzi ne rinvio' alcuni dei più importanti, con conseguenze che sono tuttora in corso. A Sanremo ci fu, soprattutto, quella che gli storici e gli osservatori di relazioni internazionali chiamarono l'invenzione del Medio Oriente. E più d'altro ci fu la spartizione degli interessi strategici di quella regione tra la Francia e la Gran Bretagna, prevalentemente all'insaputa dell'Italia  organizzatrice della Conferenza. L'unico leader sopravvissuto all'evento, l'italiano Nitti, che si spense nel 1953, fece in tempo a vedere la nascita dello Stato di Israele come era gia' in qualche modo previsto da prima dell'assise sanremese. Analoga sorte felice non toccò ai curdi e ad altri popoli della regione. Lo stesso Libano avrebbe dovuto diventare uno stato cristiano, ma ciò non avvenne. Ne' uno Stato curdo vide la luce. E da poco si era consumato il misfatto del genocidio armeno, nonostante il grido d'allarme di tutti gli ambasciatori europei in Turchia. Accorato l'appello del nostro rappresentante a Costantinopoli. Le divisioni, perduranti ai giorni nostri, fra gli arabi non condussero neppure ad uno stato arabo unitario, con la complicità interessats degli inglesi. In seguito, a favore della creazione di Israele giocarono gli stessi tragici eventi dell'olocausto, che ne legittimarono le ragioni. E va comunque ricordato che almeno fino al XVII secolo la popolazione della Palestina era stata in maggioranza ebraica, con pochi cristiani e musulmani, se pur, sotto dominio turco, gli ebrei (a detta di un geografo olandese del tempo, Reland) preferivano vivere in prevalenza nelle città ottomane dell'Asia Minore, lasciando in Palestina solo dei rabbini litigiosi in tema di interpretazione della  dottrina. A dire il vero, in precedenza, nel XII secolo il viaggiatore ebreo spagnolo Beniamino di Tudela aveva trovato pochi israeliti da quelle parti. Del resto le polemiche suscitate da un articolo comparso di recente sul quotidiano francese Le Monde (che riporta una foto della sala della riunione a castello Devachan dei primi ministri dell'epoca, ripresa da una agenzia fotografica francese di allora) nulla tolgono al fatto che Israele abbia in ogni caso avuto un diritto storico a recuperare una sede nazionale. Le risoluzioni dell'ONU circa uno stato federale in Palestina non trovarono, loro malgrado, più applicazione per vari motivi.E si hanno dubbi su nuove iniziative pacificatrici della zona anche a causa delle rivalità tra musulmani. La splendida cornice della Città dei Fiori consenti' l'esame più o meno esplicito di molte altre questioni delicate per il destino dei popoli, non solo mediorientali, ma, come ho già avuto modo di sottolineare in precedenti occasioni, sempre su Sanremonews, il vertice dell'aprile 1920 finì per essere un incontro di occasioni mancate. Ecco perché Sanremo conserva un credito pesante verso la Storia e merita, pure in queste tristi giornate di pandemia, di essere ricordata per il suo significato diplomatico e morale. E pur tuttavia, la Conferenza di pace di quella lontana primavera conserva oggi il suo originario messaggio di speranza, nonostante i limiti che mostro', in vista della ricostruzione di un mondo devastato dalla prima guerra mondiale. Una speranza che rivive nel cuore di Sanremo per la sua stessa natura di città aperta ai valori della fratellanza e della civiltà, oltre che a quelli dell'accoglienza di genti diverse. Genti dirette a Sanremo non soltanto per la bellezza del suo clima, ma anche alla ricerca della libertà perduta nella propria patria e di migliori condizioni di vita.
Casalino Pierluigi 

Cronache della peste del 1579-1580 nella Liguria di Ponente.


Dalle relazioni periodiche degli Ufficiali di Sanità di Ventimiglia si legge che nell'ottobre del 1579, a causa del propagarsi del contagio della peste nei territori liguri e nei dintorni di essi, "era sorto il sospetto degli untori e se a Genova tre forestieri, per tale accusa erano stati arrestati e torturati, ma finalmente riconosciuti innocenti, il Duca di Savoja non esitava a procedere ad esecuzioni sommarie". E poi ci fu il caso di quel tizio di Apricale che , secondo Gerolamo Rossi, veniva da Ceriana sospetto di peste e che si era alloggiato ad Apricale: con la forza era stato portato a Bajardo e di là respinto ad Apricale ancora, dove venne giustiziato a furor di popolo: qualche sospetto cadde anche sul medico Giovanni Lorenzo "che, scrivono gli Ufficiali di Sanità di Ventimiglia,venne  fermato nella villa di Bordighera e, solo dopo un periodo di forzata quarantena, venne rilasciato: il fatto di venire da Loano e da Albenga, colpite dalla peste, lo avevano trasformato in un pericoloso sospetto". In effetti il Lorenzo, salariato in Albenga e, pur dotato di opportuna "bolletta giustificata come consta per sua certificazione fatta e de forza nelli atti del notario et cancellario nostro non s'era partito dalla mattina di Settembre in qua et assicurandosi", era venuto a Bordighera da Albenga. Poiché in tale ultima villa si erano registrati molti casi di peste, forse i più  gravi dell'epidemia (come in tal senso si era espresso l'equipaggio della nave che lo aveva disinvoltamente trasportato con la moglie, lo suocero e la sua roba dal centro ingauno), il medico e il suo seguito familiare vennero inizialmente isolati a loro spese. Questa ultima circostanza fu prontamente riferita dagli Ufficiali Sanitari intemelii al Commissario alla Sanità di Sanremo, al quale,  tra l'altro, si rappresentò la necessità di fare obbligo ai marinai di Bordighera di mantenere le debite distanze dalla gente per evitare il contagio che stava allargandosi nella Liguria occidentale e Genova, risparmiando Ventimiglia e i suoi dintorni. Era anche fatto divieto in genere di conversare con soggetti sospetti nel timore di essere toccati dal morbo. Casi di sconfinamento da Mendatica verso Ceriana e il Poggio di Sanremo di mandriani e pastori con i loro greggi venivano segnalati unitamente alla vivace reazione contraria degli abitanti delle due zone. Mendatica, per i suoi contatti con Albenga era considerata assai pericolosa. Il Capitanato di Ventimiglia resistette in maniera efficace, come già ricordato in precedente occasione su Sanremonews, tenendo lontano il contagio con grande professionalità. Le fortezze create allo scopo, e in origine concepite per uso militare secondo il progetto di certo Matteo Vinzoni, si integrarono ottimamente con la rete dei lazzaretti istituita nel tempo dai sapienti responsabili intemelii. Gli Ufficiali Sanitari di Ventimiglia segnalarono pure al Commissario di Sanremo il loro rincrescimento nei confronti della arroganza di un capitano di mare di Bordighera, che era solito spostarsi per mare fino a Genova e ritorno, senza sottoporsi ai dovuti controlli. Il Commissario di Sanremo aveva, peraltro, ben presente quanto i bordighotti fossero piuttosto portati a rischiare la salute loro e pubblica, pur di non compromettere l'andamento dei commerci. I bordighotti avevano, infatti, fama di essere "corsari e tanto commercianti", e non si tiravano indietro neanche quando si ebbe notizia di un decesso per peste sulla marina di Mentone e dell'infuriare crescente della epidemia in Provenza e nei territori sabaudi di Nizza, località spesso avvicinate dai legni della Città delle Palme. Tale comportamento violava le stesse circolari che i Conservatori della Sanità  da Genova avevano inviato fin dal 1572 agli Uffici di Sanità  dei domini della Superba, in particolare delle Riviere. Si levò infine l'allarme soprattutto dopo   il diffondersi pestifero in Sanremo. Bordighera era, inoltre, un attracco privilegiato rispetto a Ventimiglia e, come tale, più facile da frequentare in considerazione di una minore vigilanza da parte della agguerrita organizzazione intemelia. I comportamenti indisciplinati e insolenti dei bordighotti superarono il segno e cosi' lo sfuggire al controlli non riuscira' più  tanto facilmente , dal momento che provvedimenti oltremodo severi e punitivi vennero assunti dalla Sanità di Ventimiglia d'intesa con le vicine autorità, non solo in seno alla Repubblica ligure, ma anche con quelle dei potentati limitrofi, compreso quello monegasco.
La perseveranza ostinata e lungimirante della Sanità di Ventimiglia sarà premiata dagli eventi (e riconosciuta dalle superiori autorità) e il Capitanato resterà pressoché immune dal contagio. Il successivo allentare del blocco non fu mai totale. Gli Ufficiali di Sanita' di Ventimiglia furono la prova ante litteram che durante le crisi sanitarie il governo della cosa pubblica non è in mano del potere politico. Del resto il sistema di vigilanza sanitaria adottato da Genova nei suoi territori, dalle Riviere alla Corsica, a Caprera, aldilà della minore osservanza da parte di qualche sua struttura (con le inevitabili conseguenze) funziono' assai meglio che in altre parti d'Europa, come ebbe a dire un viaggiatore inglese del XVIII secolo. Non solo: come si registrò particolarmente nel Ponente ligure, risorgere dalle emergenze costitui' sempre un imperativo categorico per la sicurezza collettiva. Dopo le diverse epidemie, infatti, in Liguria e nelle restanti terre sotto il dominio di San Giorgio, cambiarono sanità, dinamiche sociali e persino le fisionomie delle città. Ci si augura che anche ai giorni nostri con il Covid-19 si possa ripensare in modo nuovo al lavoro, al controllo dei big data, alla globalizzazione. Quest'ultima probabilmente non sparirà, ma cambierà volto. Si dovrà ripartire dopo un bagno di umiltà e di rinnovato equilibrio intellettuale.
Casalino Pierluigi 
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Se il futuro ha un futuro.

SE IL FUTURO HA UN FUTURO di Pierlugi Casalino https://asinorossoferrara.blogspot.com/2009/04/se-il-futuro-ha-un-futuro-di-pierlugi.html

sabato 2 maggio 2020

Sanremo, 1920. Una Conferenza poco conosciuta. A cent'anni dalla invenzione del Medio Oriente, pochi conoscono quell'evento.

   Esattamente un secolo fa si concludeva la Conferenza di pace di Sanremo. Nell'aprile 1920 con la risoluzione di Sanremo venivano determinati i destini del Medio Oriente. Eppure pochi sanno che quell evento fu di basirale importanza per la storia del Ventesimo secolo e del presente. Si ricorda la Conferenza di Versailles come esito diplomatico della prima guerra mondiale, ma 
si tende a dimenticare e sottovalutare quella di Sanremo, i cui riflessi continuano a manifestarsi ai giorni nostri. Non è questa l'occasione per ritornare su un argomento ampiamente trattato sul web da chi scrive, e non solo sul web, ma la circostanza consente di riaprire un dibattito su che cosa rappresentò quel momento storico e sulle responsabilità e conseguenze che comportò. Un motivo in più per tributare a Sanremo un riconoscimento internazionale, che travalica la sua tradizionale immagine di luogo cortigiano e vacanziero o di teatro di manifestazioni canore e sportive. Un riconoscimento che davvero manca al  palmarès della  Città dei Fiori. 
Casalino Pierluigi.