L'avertissement du patron de la banque centrale de Tunisie dénonce la manque de rigueur des dirigents tunisiens. Les autorités de transition n'ont adoptè un'économie d'austérité au lendemain de la révolution du 2011. Si le pays doit dépasser le modèle de Ben Ali, fondé sur les privilèges, l'économie peine à redécoller: seulement l'économie souterraine explose, mai la Tunisie est loine d'e^tre la nouvelle Grèce. Les 4% de croissance annoncé pour 2013 par le gouvernement - une coalition dirigée par les islamistes de Ennahda - seront bien difficilés à atteindre, estiment les observateurs: pour eux le tournant va e^tre difficile, et il y a urgence. Sinon, prevoit-ils, la Tunisie s'enforcera dans ses problèmes de cho^mage et de jaqueries avec tous les risques d'un dérapage généralisé, mai les islamistes, assènent les observateurs, n'aient qu'un souci: se mantenir au pouvoir et l'opposition de gauche un seul leit-motiv, "tout sauf Ennahda. Hommes d'affaires et entrepreneurs ne disent pas autre chose. La situation est difficile, mais en aucun cas catastrophique.
Casalino Pierluigi, 19.07.2013
Casalino Pierluigi, 19.07.2013
Nessun commento:
Posta un commento